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Titre : | Semeurs d'énigmes |
Titre de série : | Les super super, 1 |
Auteurs : | Laurence Gillot |
Editeur : | Paris : Bayard, 2011 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-9531741-1-3 |
Format : | 58 / 20 cm |
Nous quittâmes Fabrice et sa famille en prétextant des achats à la librairie du musée. A nouveau seuls, Brigitte et moi découvrîmes un peu irrités le nouvel SMS de Marc- Antoine :
« Le tombeau de Philippe le Hardi comporte quarante pleurants. L'un des deux chartreux (un pleurant vêtu d'une ample robe de bure) cache une clef qui te sera très utile. J'ai profité de ta venue au Musée des Beaux-Arts de Dijon pour te laisser deux chapitres d'un coup : tu ne pourras pas me dire que tu es venu pour rien. Fais-moi signe quand tu auras la deuxième clé. M.A.R. ».
Brigitte me regarda avec une mine exaspérée et avec l'index de la main droite se tapota la tempe :
? C'est un malade ton Marc-Antoine. Il se moque de nous !
? Bon, allons y, la salle des Gardes n'est pas loin...
Il nous restait un peu moins d'une heure avant la fermeture du musée. Parvenus dans l'ancienne grande Salle du Logis Ducal, devenue au temps des Princes de Condé, la Salle des Gardes, l'aspect grandiose des lieux nous subjugua. Placés au centre, les tombeaux de Philippe le Hardi et de Jean sans Peur attiraient immédiatement les regards. La splendeur des gisants témoignait de la richesse des ducs à la fin du Moyen-Âge. Claus Sluter et Claus de Werve avaient réalisé les pleurants du tombeau de Philippe le Bon tandis que Jehan de la Huerta et Antoine Le Moiturier recopiaient les premiers pour réaliser les pleurants de Jean sans Peur.
« Le tombeau de Philippe le Hardi comporte quarante pleurants. L'un des deux chartreux (un pleurant vêtu d'une ample robe de bure) cache une clef qui te sera très utile. J'ai profité de ta venue au Musée des Beaux-Arts de Dijon pour te laisser deux chapitres d'un coup : tu ne pourras pas me dire que tu es venu pour rien. Fais-moi signe quand tu auras la deuxième clé. M.A.R. ».
Brigitte me regarda avec une mine exaspérée et avec l'index de la main droite se tapota la tempe :
? C'est un malade ton Marc-Antoine. Il se moque de nous !
? Bon, allons y, la salle des Gardes n'est pas loin...
Il nous restait un peu moins d'une heure avant la fermeture du musée. Parvenus dans l'ancienne grande Salle du Logis Ducal, devenue au temps des Princes de Condé, la Salle des Gardes, l'aspect grandiose des lieux nous subjugua. Placés au centre, les tombeaux de Philippe le Hardi et de Jean sans Peur attiraient immédiatement les regards. La splendeur des gisants témoignait de la richesse des ducs à la fin du Moyen-Âge. Claus Sluter et Claus de Werve avaient réalisé les pleurants du tombeau de Philippe le Bon tandis que Jehan de la Huerta et Antoine Le Moiturier recopiaient les premiers pour réaliser les pleurants de Jean sans Peur.
Exemplaires
Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
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1236604400 | BDE 000 GIL | Mesquer | BD | Disponible |